Faire autant de km pour visiter une entreprise textiliste, ça me paraissait au départ peu intéressant :

https://www.toutes-mes-sorties.com/sortie-636302

Et pourtant, sur l’invitation covoiturage de Jean-Luc, un ami randonneur je me suis laissé convaincre, d’autant qu’il avait prévu de s’arrêter, au retour, dans une forêt pour se dégourdir les jambes… et la peau.

Finalement, l’accueil dans les ateliers BOHIN a été très sympathique. Une photographe et une journaliste de BFM étaient de la partie au grand dam de certains naturistes n’ayant toujours pas fait leur « coming out ». 

La visite de cet usine  ne manquait pas d’intérêt et j’ai même appris que le mot « chat » s’écrivait en fait chas. Et de fil en aiguille, j’ai ainsi appris l’histoire fabuleuse de ce petit outil en métal. Et cela ne manquait pas de piquant. 

Autre intérêt d’avoir fait le voyage, celui d’avoir retrouvé certaines connaissances et amis (tels Marc du Mans, Fabrice de l’ARNB, Sébastien d’Alençon ou encore Gilles du Cotentin). Il y aurait eu 60 à 70 visiteurs nus !

Bien sûr en repartant, nous avons fait de belles photos (dont une dans le genre « Normandie nue » devant le panneau du village de Saint-Sulpice-sur-Risle où se situe les Etablissements BOHIN).

Puis nous nous sommes fondus, tout nus, dans la Forêt domaniale du Perche. Une belle abbaye sur le chemin nous a permis de nous réhydrater à sa source et nous sommes allés honorer le prestigieux chêne du Rancé en croisant au passage deux sympathiques jeunes femmes nous encourageant à rester en habit de peau.