Première rencontre internationale du naturisme en liberté
First international meeting of naturism in freedom From March 5 to 12, we will be some nudians for holidays in Guadeloupe. The occasion also to meet other naturists and exchange about « naturism in freedom » throughout the world.
This email of information is sent to all the international naturist structures
and in particular the North-American ones.
Malheureusement, aucune de ces structures naturistes n’a dénié répondre à nos courriels et probablement informer leurs adhérents.
Deux lieux d’hébergement naturistes,
nous étaient proposés
Eden-Nat :
http://www.eden-nat.com/
Club Caraïbes :
http://pagesperso-orange.fr/caraibesnat/
Il existe également des possibilités d’hébergement moins coûteuses près de la plage naturiste officielle des Tarares (à l’extrême Est de Grande Terre)
http://www.salines-guadeloupe.com/tarifs.php
Il semble que le « naturisme officiel » soit en recul dans ce beau département des Antilles. Des plages encore annotées « naturistes » sur notre carte IGN ne sont qu’un lointain souvenir d’après les locaux. Une association
naturiste existe :
http://www.naturisme-guadeloupe.com/ . Nous avons rencontré
son Président. Il descend presque tous les matins pour nettoyer
la plage et discuter avec les vacanciers.
Nous avons pratiqué la randonue
autour de la plage de Tarare. Le biotope et les paysages sont
très intéressants à découvrir.
Chemin d’accès à la plage de Tarare.
La pratique du naturisme est signalée par un panneau.
Au loin, la plage des Salines
Nous l’avons pratiqué également dans la forêt de Pouzzole près de Port Louis.
Le site est remarquable car il renferme de nombreuses espèces d’arbres indigènes dont bons nombres sont identifiés par des pancartes.
La balade s’est poursuivie ensuite dans les champs de canne à sucre.
Nous sommes enfin aller nous promener nus à Basse Terre, la partie la plus montagneuse et humide du « papillon guadeloupéen ».
Seules rencontres avec des touristes me trouvant plutôt futés de
marcher également pieds nus dans la boue.
Pendant ces balades en tenue de peau, comme à l’accoutumer, nous
avons rempli nos sacs plastiques de détritus ramasser en chemin.
Pas de réactions d’hostilité si ce n’est peut-être celle de
quelques naturistes un peu affolés par notre démarche.
